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MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour)

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Sam E. Vantricht

MODO ✿ Cap'tain Red
Sam E. Vantricht


✿ Messages : 15
✿ Date d'Inscription : 05/09/2011
✿ Age du Personnage : 24


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MessageSujet: MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) Icon_minitimeLun 5 Sep - 14:16


Sam Evidence Vantricht


« Il est de la nature de l'évidence qu'elle passe inaperçue
    Jean Paulhan

MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) Garterton-1



Identity Card

Nom : Vantricht
Prénom(s) : Sam Evidence
Surnom(s) : Doll, Evi, Ivy
Date et Lieu de Naissance : 20 janvier 1987, Drakensberg (Afrique du Sud)
Âge : 24 ans
Profession : Infirmière
État Civil: Célibataire. Enfin... Fiancée dans une autre vie.
Orientation Sexuelle: Curieuse.
Groupe : working class
Célébrité : Gemma Arterton
Personnage: Inventé Prédéfini (PV ou Scénario)

Mon Caractère

Que vous dire de moi? Je suis encore jeune, je suis encore belle, j'ai encore des idéaux. J'ai surtout tant de choses à oublier... J'ai envie de danser, de chanter, de rire, de travailler, de baiser, j'ai envie d'exister et de brûler la chandelle par les deux côtés, j'ai envie de boire, de me saouler, de me détruire, j'ai envie de pleurer. Mais je ne pense pas que je ferai tout cela: pour danser il faut ne pas être seule, pour rire il faut être heureuse, pour travailler... oh non, ça je peux faire, travailler. Et pour baiser... il faudrait d'autres bras sur moi, moi qui n'en ai connu que deux. On ne boit pas, on ne se saoule pas, on ne se détruit pas seule, il faut entrainer un autre avec soi.

Et puis, j'ai trop de volonté pour ça. Ce n'est pas à moi de plier, c'est aux gens et aux choses de s'adapter. S'ils ne le font pas, je peux les écraser, sans regret, vraiment, sans arrière-pensée. Rien ne peut m'arrêter. Pas même le passé, pas même les cauchemars, pas même les absences. Mon passé... C'est terminé, je ne veux plus y penser. Tout effacer.

Je m'offre, vous voyez? Comme vierge, comme purifiée, comme lavée. Sans passé. Je vous offre ce que je suis. Je suis ... amicale. Déterminée. Joyeuse. Gronchon. Boudeuse. Dragueuse. Libérée. Drôle. Rebelle. Cynique. Loyale. Egoïste. Rêveuse. Secrète.

Je suis trop de choses pour tout dévoiler... Venez. Vous verrez.


Mon Histoire

« Le passé a des blancs qui sont noirs. » - Elsa Triolet

On ne sait pourquoi elle est allée mourir là, en pleine réserve naturelle. Elle n'avait pas quinze ans, d'après mon père, elle portait une croix d'argent, sur une ficelle, et la blondeur de nos ancêtres . Je l'imagine: son corps mince, bronzé, avec encore un peu de la grâce des enfants, et son ventre énorme, difforme, distendu, dans lequel elle me portait. Je l'imagine et je sens ses pieds nus, comme s'ils étaient les miens, s'enfoncer dans les graviers, frapper le sol aride. Les herbes sèches et dures coupent ses jambes, des gouttes de sang glissent sur ses cuisses. Elle a les bras posés sur moi et elle court. Elle s'enfuit, elle s'évade, elle quitte un monde intolérant qui lui disait qu'elle était trop jeune pour avoir un enfant. Qu'elle aurait du avorter. Et moi, là, dans son ventre, je ne comprends pas, je ne sais qu'une chose: je veux naître.

Alors je finis par lui déchirer les entrailles et la vie.

Enfin, tout ça, c'est ce que je me raconte. Je ne sais rien d'elle, juste sa jeunesse, juste sa blondeur et ses yeux sombres, juste qu'elle avait du être belle et qu'elle avait accouché là, en pleine nature, loin de tout et de tous. Si père m'a trouvée, c'est que sous le soleil qui nous écrasait, mère et moi, je hurlais. J'avais pris les derniers cris de l'adolescente et ils gonflaient ma poitrine. Ou j'avais mal. Ou j'avais compris qu'elle était morte, elle qui aurait du m'aimer et me chérir... Je ne sais pas.

Du haut de son cheval, il nous a vu...
Il n'a ramené que moi, la police a fait le reste.
... mais pas avant les charognards.

Il m'a adoptée, il m'a élévée comme sa fille, lui qui n'avait jamais voulu d'ami ou de famille.
Il était roi et ne voulait pas de reine.
Il était roi et voulait perdre son royaume.
Il était roi et il avait trouvé un prince.

Il m'a appelé Sam, parce que, vraiment, il ne savait que faire d'une fille, puis Evidence, parce que certaines choses sont claires comme de l'eau de roche et que Dieu m'avait posée sur son chemin. Puis il m'a donné son nom, qu'il avait hérité de lointains boers, de ces ancêtres hollandais qui avaient défriché la terre et colonisé ce coin de l'Afrique.Puis il m'a donné son sang, son pain, son eau et sa sueur. Ses valeurs et le sens des ancêtres, de la fierté. Il m'a gonflé l'orgueil et fait briller l'âme, tant et si bien que je sais, déjà, que je suis une étoile, au ciel, que je le mérite, que je l'exige, que je le dois.

En souvenir de ces hommes et de ces femmes qui ont donné leur vie et leurs douleurs à la terre et qui furent nos ancêtres. Cette même terre couleur fauve qui habite encore mes rêves.

Parce que tu vois, papa...
Tu m'as tout donné, et je t'ai tout pris.
Parce que tu vois,...
Tu m'as donné ta force, mais que je l'ai perdue.
Parce que tout ça, ça n'était pas assez...
Je suis faible, tu vois?

« Il y a d'ailleurs quelque chose de commun à ces trois figures-là : celle du père, celle de l'enseignant et celle du mari. Mon Dieu, protégez-nous des examens et de ceux qui nous les font passer » - Christian Bobin

La terre ici n'a pas de couleur, le sang qui l'a arrosée est depuis longtemps délavé: trop de pluie, trop de pas, trop de béton. Pas de soleil pour fixer les couleurs et les magnifier. Un faux soleil... Il chauffe à peine, il éclaire à peine, il ne brûle pas, il ne vous dévore pas, il est tiède. Le parc, un simulacre si triste de nature, reste le seul lieu où je me sente libre. Mes terres me manquent. Ici, les horizons sont bouchés d'immeubles et même la nuit, le bruit du trafic vous étouffe et vous colle l'âme au sol. Le bruit des klaxons remplace les cris des animaux, la lumière des néons celle des étoiles. Et la lune, elle, se meurt.

Et pourtant, mon sang, mon souffle, mon corps, tout me hurle « n'y retourne pas ». Je me réveille, la nuit, et la sueur sur mon corps me noie de peurs, mon coeur et ses battements me chantent des hymnes afrikaans qui me susurrent le gout du feu et l'odeur de la colère. Et lorsque se calment mes frayeurs, il y a encore une voix qui me glisse des murmures à l'oreille et au coeur. Des « N'y va pas » et des « Reviens ».

Tu vois? Tu vois, Steve? Tu restes là, dans un coin, tu n'as pas encore disparu et tu essaies encore de me retenir.Je n'ai oublié ni tes bras ni tes rires, ni le tintamarre de ton coeur sous mes oreilles. Ni tes cheveux sous mes doigts ou tes yeux plongés dans les miens. Je n'ai rien oublié, pas même cette promesse que je t'avais fait, que je n'ai pas tenue, que je ne compte pas remplir. Pas même ce « je reviendrai » soufflé entre deux baisers, avant mon départ.

Je ne croyais pas te mentir et puis.. les choses se sont précipitées, tu comprends? La terre, la ferme, la colère et les incendies... les attaques. Je ne pouvais pas revenir, ne me demande pas pourquoi... Revenir vers tes bras et t'avouer « tu avais raison... ». revenir vers ton lit et te caresser « j'avais tort ». Supporter ta satisfaction, ta fausse pitié, et puis te pardonner ces sentiments et me pardonner ma rancoeur. C'était au dessus de mes forces.

L'herbe dans mon dos, verte et tendre, est comme une invitation, un appel à abandonner ma vie ancienne, comme la peau d'une mue, pour renaître. Alors je crois, Steve, que tu dois disparaitre de mes pensées, avec l'odeur de la pluie et de la poussière, avec les chants et les chevaux, le crottin et la boue. Alors je vais t'effacer. Demain, je vais me présenter à un médecin, trouver un boulot, j'ai trouvé une petite annonce et les infirmières, ici, ne courent pas les rues. J'ai de bonnes chances, je crois...

J'avais 17 ans, les rires et l'appétit de vivre qui accompagnent l'adolescence: certaines de ses révoltes, aussi. Je pensais refaire le monde et que le moyen le plus simple pour cela ne passait pas par les manifestations, mais par l'éducation et les soins de santé. Trop impatiente pour devenir institutrice, trop nerveuse pour supporter des études interminables, les trois années nécessaires à devenir infirmière me semblaient idéales. La capitale et ses folies m'enivraient... et puis tu es apparu, avec tes études de droit, ton sourire ravageur et ton humour... Mais j'ai dit que je ne parlerais plus de toi, non?

Va-t-en.

Je t'aimais.
J'ai travaillée... Travaillé deux ans.
Je t'aimais.
Tu as eu ton diplôme, tu étais avocat des causes perdues et pauvre comme job.
Je t'aimais.
Je travaillais, et je t'aimais, et le temps passait.
Je t'aimais.
Le temps passait et je ne le voyais pas faire.

« Le présent serait plein de tous les avenirs, si le passé n'y projetait déjà une histoire. » - André Gide

Coup de tonnerre! La foudre arrachée au ciel et tombée. Tombée à mes pieds, à ma tête, à ma gorge. Ecrasée et terrassée. Il était mort. Père. Il avait cueilli mon corps sur la plante morte de ma mère, il m'avait nourrie et abritée... Il avait pris soin de moi. J'ai tout lâché, il le fallait, je devais être là, pour l'enterrer... Il n'y avait que moi et un notaire, devant le trou creusé. Il était comme un gouffre marron et chaud, sec et meuble.

Je n'avais, jusque là, jamais versé autant de larmes: cela a duré deux jours entiers et lorsque mes joues et mes yeux se sont asséchés, c'était comme si le sang s'était retiré de mes veines et avait déserté mon coeur. Il n'y en avait même plus pour toi, la terre de la tombe avait tout pris, tu vois? Elle m'appelait, cette terre, il me parlait ce sol, et soudain, avec une violence terrible, je découvrais à quel point j'appartenais à ces lieux qui m'avaient vu grandir.

J'ai refusé de repartir. J'avais hérité des terres, de la ferme et des cultures, il fallait que je reste... Tu es venu, tu as voulu que je change d'idée. Tu m'as parlé de rêves anciens, dépassés, de restes de colonialisme et d'apartheid. J'ai hurlé que c'était fini et que ces terres m'appartenaient, qu'elles avaient été dans la famille depuis des siècles. Tu m'as rappelé que j'étais une enfant trouvée. Que l'apartheid était terminé mais que les terres appartenaient toujours aux blanc et que c'était injuste. Et moi j'ai crié que je me foutais de l'apartheid...

J'avais mal. Si mal. Je pensais que tu me soutiendrais, tu sais?
Je ne sais quels rêves idiots m'avaient voilé les yeux...
Tu regardais le sol et tu ne voyais que désert et poussière.
Tu fixais la terre et tu détruisais mon enfance et mes rêves.
Tu me blessais à mort, alors je voulais te faire mal aussi...
Ce n'est pas plus glorieux que cela.
Quatre ans de relation effacés en quelques mots.
On n'avait souvent parlé du poids des mots, mais je ne le connaissais pas...
Pas avant ce jour là.

« Le passé, c'est ce qui n'existe plus. Vivre dans le passé, ce n'est pas vivre : c'est être mort ou c'est vouloir peut-être mourir... » - Roch Carrier

Ni l'herbe dans mon dos ni son parfum ne peuvent me sauver... Ce soir il y aura les cauchemars, ce soir il y aura la solitude et les larmes. J'ai fui, j'ai quitté mon sol natal et le pays qui m'a vu grandir. Steve avait raison. L'apartheid n'est pas vraiment chose du passé. Il coule encore dans nos sang, dans mon orgueil et ma fierté, dans la colère et la résignation des pauvres. Il coule dans ma façon trop brusque d'ordonner, de vouloir, d'exiger, de reporter les paies ou de les oublier...

Je n'ai pas eu le choix. Il y a eu les intimidations... Le chien mort, sur le palier. Puis la volaille, les oiseaux... La grange et son incendie.

Je me réveille la nuit, et j'entends les cris. Et soudain, c'est moi qui crie. Des bras autour de ma taille, une main plaquée sur ma bouche, la peur, viscérale, du viol. Cela arrive, les propriétaires terriens blancs représentent une parenthèse du passé, destinée à être abolie, effacée. La mort n'est qu'une horreur parmi d'autres, mais les bras autour de moi, cette nuit-là, m'ont sauvée, tirée loin des cris, des hurlements, du feu et de l'alcool qui coulait à flot. Ils m'on jetée dans la nuit et l'ombre et une voix m'a ordonné de fuir. J'ai obéi. Pour la première fois de ma vie, j'ai obéi. Les joues ravagées de larmes et les membres tremblants de honte.

J'ai retiré tout l'argent que j'ai pu, dans la première ville que j'ai pu rejoindre. Puis j'ai pris le train, puis l'avion... C'est ici que j'ai atterri... New-York, ce n'est pas si mal, tu vois. Ca manque juste de liberté, de nature, d'odeur, de lumière, de tout. Ca manque de toi, aussi.

Mais chuuut... Tu ne le sais pas.
Tu ne le sauras pas.
Jamais.


Behind The Screen

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Comment As-Tu Découvert le Forum ? On m'a suppliée pour que je vienne. Si si
Une Suggestion ? je ne dirai rien
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Steven J. Pearce

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MessageSujet: Re: MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) Icon_minitimeLun 5 Sep - 14:22

*W* SAAAAM Very Happy

J'ai trop hâte de jouer notre première rencontre, ce sera EPIC! Surprised

Je prépare déjà ma petite liste de mots (A) Prends ton temps pour ta présentation, et hâte de la lire. =D
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MessageSujet: Re: MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) Icon_minitimeLun 5 Sep - 21:48

Je crois que ma présentation est prête, ô chirurgien adoré Rolling Eyes
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Steven J. Pearce

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MessageSujet: Re: MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) Icon_minitimeMar 6 Sep - 13:31


Fiche Validée !


« bienvenue chez les working class »

OMGOMGOMGOMG. J'adore. *-* Rien que l'histoire, la façon dont c'est écrit, etc... Bravo, j'aime énormément. Very Happy Et puis le nom... Steve x'D Quelle coïncidence, je crois comprendre que tu vas te servir du rapprochement entre les noms. (a) Bref, validée, bravo. :DD Histoire très triste, enrichie par des citations pour séparer les différents "épisodes" de ta vie. Smile J'aime bien aussi que tu parles à ton ex pour raconter ton histoire, c'est très... émouvant? D: Je sais pas trop décrire. (A)

MODO ϟ Évidence: Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux. (Flaubert et ses définitions sont Amour) 20149522



Première Étape Réussie

Félicitations ! Tu viens officiellement de débuter ton l'aventure sur Liberty Island. À présent, tu peux créer ta fiche de liens ainsi que ta fiche de rp's. Pour tous les topics de gestion et pour signaler tes absences, clique sur ce lien ici. Pour te créer des scénarios importants pour l'évolution de ton personnage, passe par ici, tu peux également placer le personnage concerné sur la Page d'Accueil pour la durée d'un mois. Finalement, une section réservée aux aventuriers souhaitant faire partie des Computer Brains (et il n'est pas trop tard pour demander à Lady Liberty si tu peux faire partie de l'aventure) se trouve par ici. Pour toutes les nouvelles croustillantes, Lady Liberty se chargera de vous faire un compte rendu ici. Finalement, le partenariat, les suggestions et autres questions te sont à portée de main dans cette section du forum. Tu as temporairement disparu de la circulation, tes sujets ou ta présentation ont disparu? Ne panique pas, elle se trouve bien au chaud ici.

Bon jeu sur Liberty Island !



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