Eleanor est très douce, mais aussi très gentille. Elle est serviable, toujours là pour aider n'importe qui n'importe quand. Elle est compréhensive et impulsive. Elle adore rigoler. S'il y une personne qui doit rire ou dire une bêtise, c'est bien elle. C'est aussi le reine des gaffeuses. Elle est réfléchie. C'est pour ça qu'on ne sait jamais ce qu'elle pense, à la seconde ou elle le pense. Elle est maline, avec ses petits yeux coquin. Mais pas contre elle est jalouse. Et comme on dit, il vaut mieux éviter de voir une fille jalouse, c'est très dangereux. Et dans ces conditions là, il faut mieux éviter de s'en approcher, ou même de l'embêter. Celle-ci qui est toujours la première à rire risque de prendre ce que vous lui dite au pied de la lettre, même si ce n'est pas dans ses habitudes bien sûr. Elle est aussi très très têtu, ce qui est un de ses principales défauts. Quand elle a une idée derrière la tête, c'est dure de lui enlevée. Elle est aussi généreuse et attentionné. La gourmandise est un péché, mais ça, Eleanor s'en fout complètement, pour elle il faut mangé et se faire plaisir. Mais attention, il ne faut pas abuser des plaisirs, il y a une santé et un physique à assuré derrière. Et comme on pourrait dire, toute femme qui se respecte, doit prendre soin de son physique. La jeune femme est très malicieuse, mais aussi très sensible. Alors attention à ne pas la vexé, elle est rancunière et est très intelligente. Cette demoiselle est aussi Humble. Eleanor est très très caractérielle, c'est SON principal défaut, parmi les autres bien sûr.

Je m'appelle Eleanor, j'ai 19 ans et j'habite à New-York. Et non, non je ne suis pas droguée. Je n'ai juste pas eu la vie que j'aurais souhaitée. Mais on ne peut pas dire que je n'ai pas eu de chance car si je n'avais pas rencontrée mon grand frère il y a 3 ans de cela, je ne serai pas ici entrain de vous raconter mon histoire. Je ne serai peut-être même pas dans l'état actuel, je ne serai peut-être même pas vivante. Mais qu'importe les "si", la je le suis et c'est tout ce qui compte. J'aimerais vous raconter mon histoire. Vous vous dites peut-être que je suis une rabat-joie de 19 ans qui ne sait encore rien de la vie, qui ne sais pas ce qu'est la chance ou même qui ne sais pas à partir de quand l'on peut juger si notre vie a était bonne ou non, mais au moins faites-moi le plaisir de la lire.


C'était le début du printemps 2009 et mon frère m'emmenait à mon rendez-vous chez le psychologue.

- Bonjour Mlle, j'espère que vous allez bien, ou en étions-nous déjà ? Ah oui, peu après vos 6 ans, mais je préférais que vous recommenciez.

-Bien, ça débuta le 14 juillet 1994 à Manhattan, New-York. C'est ce jour là qu'une connasse accoucha d'une pute...

-Mlle...

-Je n'ai pas terminé Dr Mitney, c'est les termes, vous voulez entendre l'histoire oui ou non ?!

-...



-Bien, ça débuta le 14 juillet 1994 à Manhattan, New-York. C'est ce jour là qu'une connasse accoucha d'une pute. Non, en vérité c'est une fille de bourge qui accoucha du futur fille à papa. Cette petite fille grandit dans l'état de New-York, à Manhattan plus exactement. Elle passa son temps à faire tout ce qu'on lui demandait jusqu'à l'âge de 6 ans ou elle commença à aller à l'école primaire. Une école très réputé et bien évidemment privé. Elle avait bien évidemment de bonnes notes et c'était une fille modèle. Elle était toujours prête à rendre service. Et elle avait beaucoup de succès au près des garçons à l'école. Mais les garçons à cet âge là, c'étaient pas touche, les garçons c'est *beurk*.
La fin du CM2 approché pour la jeune fille et l'année suivante elle allait passé au collège. Pour Miranda elle était encore sa petite fille. Mais la petite fille grandissait de plus en plus et aller bientôt devenir une adolescente. A son entrée en quatrième, la jeune demoiselle avait bien changé. Ce n'était plus une petite fille, et encore moins une petite fille à son papa. Elle commençait à désobéir parfois à ses parents, mais pour son âge, il n'y avait rien de grave. C'était juste la crise d'adolescence qui ressortait un petit peu parfois.



C'est alors que tout dérappa. Zara fût prise par un professeur en train de prendre de l'herbe devant son collège avec des amis. La mère de Zara, Miranda, fût convoqué par le principal avec sa fille. Le proviseur lui expliqua en détail ce que le professeur avait vu. Miranda fût couverte de honte, d'après elle. Et elle décida, avec son marie de mettre leur fille dans un pensionnat plus stricte. Zara finit alors sa quatrième ainsi que son collège dans ce nouvelle établissement. Elle ne pouvait rentrer que le Week-End et pendant les vacances. C'était l'enfer pour elle.
Sa mère ne lui pardonna pas complètement ce qu'elle avait fait.
Un jour, alors que Zara était à son pensionnat. Sa mère avait décidé de venir lui rendre visite, car sa fille ne lui parler plus beaucoup et qu'elle avait envie de se rapprocher d'elle. Elle s'apprêtait à entrer dans l'établissement quand elle surprit sa fille en train d'embrasser une autre fille hors de l’établissement. Sa mère voulut d'abord faire demi-tour, puis elle décidait d'aller la voir pour aller parler à sa fille. La mère croyait que Zara ne l'avait pas encore vue car celle-ci continuait dans sa lancé. Zara l'avait tout à fait vue, mais elle s'en fichait.
Zara ce souvient encore du dialogue avec sa mère.

-Zara ! Zara ! Zara arrête cela tout de suite !

-Tiens, Miranda, comme je suis contente de te voir.

-Qu'est ce que tu fais ?!

-Ça ne se voit pas ?! Oh oui pardonnes-moi j'ai oublié de faire les présentations.
Katy voici Miranda, Miranda voici Katy.

paffffffffffff. C'était le bruit de la gifle que venait de se prendre Zara.

-Tu me dois le respect. Et arrête de m’appeler Miranda, je suis ta mère ! Voyons, je ne te reconnais plus, ce n'est pas comme ça que nous t'avons élevé ton père et moi !

-Oui quoi, qu'est ce qu'il y a ? Eh oui maman, je ne suis pas la petite fille à son papa que vous pensiez élever. Vous m'avez surprotéger et interdit tout genre d'amusement autre que les choses que je pouvais faire à la maison ! Et pourquoi ça ? Ah oui, j'avais oublié, sens soute à cause de mon frère qui lui est partie et qui a eu le culot de ne pas vous dire au revoir et de ne jamais revenir vous revoir !

Zara s'en alla.
Arrivé à la maison, sa mère l'attendait dans la cuisine. Elle lui dit qu'elle avait dépassé les bornes et qu'elle n'était plus la bienvenue dans la maison. Elle lui dit aussi qu'elle l'avait ridiculisé devant ses amis. Elle lui annonça qu'elle devait préparer ses affaires et ne plus revenir à la maison.



C'est à partir de se moment là que Zara à commencé à vraiment détester sa mère. Elle n'a pas trop connu son père car il était toujours parti en déplacement. C'était lui qui ramenait l'argent et sa mère qui le dépensait. D'après Zara, sa mère était aussi aigri parce que son père ne lui faisait pas assez l'amour et qu'il préférait se taper d'autres filles que sa mère lorsqu'il était en déplacement. Nous ne parlions jamais de ça, c'était un sujet tabou, mais tout le monde dans la maison savait de ce qu'il en était.
Quoi qu'il en soit, Zara savait maintenant pourquoi son grand-frère n'avait plus jamais redonné signe de vie à sa mère et savait aussi pourquoi son père aller voir ailleurs.
On peut dire que Zara à enfin commençait à vivre sa vie comme elle le souhaitait. Elle se droguait, aller en boîte jusqu'à des heures pas possible. Elle allait aussi dormir chez des amis de son ancien bahut. Parfois elle dormait sous des ponts. Elle ne savait pas ce qui l'attendait le lendemain, ni qui elle allait rencontrer, mais c'était le fun, c'était ça qu'elle adorait plus que tout, plus que son ancienne vie.
Mais c'est quelques mois après s'être fait viré de chez elle parce qu'elle était bisexuelle, qu'elle fit une rencontre inattendu. Elle rencontra son frère qu'elle n'avait pas vu depuis des années. Celui qui avait quitter la maison du jour au lendemain à sa majorité. Il l'invita chez lui et lui demanda pourquoi elle était dans la rue. Celle-ci lui expliquait.
Son frère voulait l'aider, elle était drogué et à la rue. Elle ne se rendait même plus compte de ce qu'elle faisait. Il décida donc je la garder chez elle en attendant et de s'en occuper. Quelques moi plus tard elle, elle allait mieux, elle n'était même plus la même personne. Son frère continuait tout de même à l'emmener chez le psychologue. Même si elle n'en avait plus besoin...

-Zara, si votre frère continu de vous y emmener, c'est qu'il juge cela nécessaire.

-Ne m'appellez pas Zara !

-Vous préférez mlle Ances ?

-Peu importe, mais Zara n'est pas mon prénom. Je ne veux pas que l'on m'appelle comme ça ! Mon prénom c'est Eleanor !

-Votre deuxième mlle...

-Zara n'a jamais était mon vrai prénom et ne le sera jamais ! De toute façon, ce que je viens de vous raconter n'était pas nécessaire vu que je ne vous parlez même pas de moi mais de Zara !

-Mais vous êtes Zara ! Voyons, mais qu'est ce qu''il vous arrive ?

-Je ne veux pas que l'on m'appelle comme ça ! Ça me rappelle trop de mauvais souvenir passer avec ma mère !

Sur ce, elle claqua la porte et s'en alla, laissant place à son grand frère.

-Elle a encore piqué sa crise parce que vous l’appeliez Zara ?! Il va vraiment falloir régler ce soucis...

-Oui, et il y a du travail. Nous ne pouvons pas lui demander d'oublier sa mère, cela est trop dur pour elle. Même si elle a passé beaucoup moins de temps avec elle et qu'elle n'est que resté 15 ans en sa compagnie et vous 18 ans. Elle a vécu des choses beaucoup plus tragique que vous -sans vouloir remettre en cause ce qui vous est arrivé-. Elle a était directement viré de chez elle et a dût se débrouiller toute seule pendant plusieurs mois. Alors que vous, vous êtes partie de votre pleins grès. Elle n'avait pas encore finit son enfance, certes elle était à l'adolescence quand cela lui est arrivé, mais c'était encore une enfant, et une enfant à encore besoin de ses parents pour prendre son envole et vivre sa vie tout seul comme un adulte. Heureusement que vous l'avez trouvé M. Ances, sinon à l'heure actuelle, je ne serais pas comment on l'aurait retrouvé. Mais dites-vous que vous avez eux de la chance et que s'aurait pu être bien plus grave que ce ne l'est à l'état actuel. Les chose vont bien finir par s'arranger, même si elle en gardera les cicatrices toute sa vie, mais ce qu'il faut lui donner, c'est du temps. Oui, du temps, beaucoup de temps...