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S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You.

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Steven J. Pearce

FONDATEUR ✿ Doctor Love
Steven J. Pearce


✿ Sexe : Masculin
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✿ Date d'Inscription : 09/08/2011
✿ Age Réel : 28
✿ Age du Personnage : 28 Ans
✿ Métier : Chirurgien Esthétique
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MessageSujet: S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. Icon_minitimeJeu 6 Oct - 15:16

Nous étions le 5 Octobre 2011, jour où le récent froid New Yorkais avait cédé sa place à une chaude journée estivale. La plupart des arbres de la ville possédaient encore leur magnifique feuillage vert et vif. Quand aux arbres situés plus au nord de New York, on pouvait distinguer, si on les observait de près, quelques tâches orangées parmi les branches et les feuilles. Le temps était assez agréable ce jour là, voire même chaud. Inutile de vous dire qu'à midi et demie pile, tous les écoliers s'étaient rués hors des portes de leur "prison" afin de passer le reste de leur journée à donner des coups de pieds dans un ballon ou à appuyer frénétiquemment sur les touches d'un clavier - tout cela entre amis, évidemment. Inutile de vous dire que Central Park était rempli d'amoureux transis, de hippies en recherche de paix et d'hommes d'affaires en importants rendez-vous. Inutile de vous dire que le Cabinet du Docteur Pearce était pour une fois calme et silencieux; sa tranquilité non-troublée par un "client" innatendu... C'était, en somme, la journée idéale pour nettoyer un peu et de s'occuper des fichiers. Heureusement pour Steven, il n'était pas seul à devoir s'occuper de ces corvées.

Assissté par l'un de ses meilleurs amis, Vance, Steven, assis derrière son bureau, contemplait d'un air distrait une haute pile de dossiers. Baillant aux corneilles, le sérieux docteur qui n'était pas si sérieux que cela lorsqu'on le connaissait bien demandait machinalement à Vance si ce qu'ils faisaient était absolument indispensable et nécessaire. À son plus grand ennui - mais pas à sa plus grande surprise - son ami se contenta de répéter ce qu'il lui avait répété tout au long de la matinée : il fallait bien que ce soit fait un jour, alors pourquoi pas ce jour là en particulier, lorsque Steven avait relativement peu de clients ? Réticent, le chirurgien dût admettre que son ami marquait un bon point, et se contenta donc de suivre ses ordres et consignes au pied de la lettre.


- Franchement, Vance ? Je me demande pourquoi on ne m'a pas engagé une assisstante: je ne vois aucun inconvénient à ce que j'en ait une ! Premièrement, j'aurais quelque chose d'agréable à regarder à mon arrivée ici tous les matins, deuxièmement, j'aurais quelque chose à draguer à mon arrivée ici tous les matins, troisièmement, j'aurais quelque chose à mettre dans mon lit éventuellement... Et puis, elle pourrait m'aider à trier mes rendez-vous et mes dossiers, accessoirement.

Vous prendrez sûrement le docteur Pearce pour un chaud lapin qui ne sait pas différencier travail et plaisir, et quelque part, vous aurez sans doute raison. Nous devons cependant vous faire remarquer que Steven n'était pas un mauvais chirurgien, non: s'il prenait ce genre de chose à la légère, en salle d'opération, c'était tout l'inverse. Le fascinant charme de cet homme tournait en effet autour du fait qu'il parvenait à s'amuser et à se faire des amis tout en ayant de brillants résultats et un bel avenir devant lui. Certains pourraient être jaloux de lui; d'autres pourraient le mépriser, mais personne ne peut nier le fait qu'il a sû trouver le parfait cocktail de travail et de plaisir.

- Oh, mais... Tu as raison, Steven ! Pourquoi ne t'avons-nous donc pas engagé une assisstante auparavant ? Ah mais tiens, maintenant que j'y pense, c'est probablement parce qu'on l'a déjà fait, et que ça n'a pas marché ! lui répondit son ami sur un ton purement sarcastique.

- Tu n'es vraiment qu'un rabat-joie, Vance. Ça ne m'est arrivé qu'une fois, c'est bon ! Pourquoi est-ce qu'avec toi, on ne peut pas passer à autre chose; vivre dans le présent ? rétorqua alors Steven.

- Une fois ? renchérit de plus belle son ami, Une fois ? Laisse-moi te rafraichir la mémoire, cher ami, si tu le veux bien.

En disant ces mots, Vance traversa la salle avant de s'asseoir sur le bureau de Steven, regardant son ami droit dans le blanc de l'oeil. Ce que vous devez savoir sur Vance, c'est que contrairement à Steven, il n'a jamais été un "mauvais garçon" : il n'était jamais sorti faire la fête avant ses vingt et un ans, il n'avait jamais eu beaucoup d'amis, il avait toujours aimé et aimera toujours une seule et même femme. Vous pourrez vous demander ce qu'un tel homme fait avec un homme comme Steven, et la réponse est bien simple : ils sont inséparables dû à leur incompatibilité. Steven et Vance, c'est deux doigts de la main. Steven et Vance, c'est deux personnes opposées qui savent que l'autre sera là pour les aider à y voir plus clair lorsqu'ils sont sur le point de faire une bêtise. Steven et Vance, c'est avant tout des meilleurs amis depuis toujours, qui le resteront, quoi qu'il advienne.

- Alors... Il y a la fois du premier janvier, avec la fille qui ressemblait à un orang outang... Tu rigoles peut être maintenant, mais je peux t'assurer que ça n'avait rien de drôle de voir son meilleur ami se jeter sur un macaque pareil dans un élan d'ivresse. D'ailleurs, je ne comprendrai jamais pourquoi tu t'étais décidé d'embaucher cette fille au capillaire si fade et volumineux ... Voyons-voir, qui y avait-il d'autre ? Ah oui, je m'en rappelle maintenant: novembre dernier, tu t'étais jetée sur la fana de littérature là... Avant ça, c'était celle qui était aussi bête qu'une oie, voire même plus... Finalement, il y avait cette fille il y a pas longtemps, en août... Tu le sais bien, la musulmane là ? Je ne sais toujours pas comment tu as réussi à t'en tirer sans te faire radier ni perdre une somme astronomique d'argent, il faudra que tu me racontes cette histoire un jour... Ou plutôt, non, ne me la raconte pas, ce sera sans doute mieux ainsi...

- C'est bon, c'est bon, j'ai compris !
s'exclama Steven en riant, Tu ne veux pas que je me fasse aider dans mon travail de peur que ça ne dérape jusqu'à mon lit !

- Erreur, cher ami : je sais que ça dérapera jusqu'à ton lit: tu ne sais pas te la mettre en veilleuse. Le pire, Steven, c'est que tu choisis toujours les pires femmes: j'avais déjà entendu parler de triangles amoureux, mais avec toi, ça devenait presque des prismes amoureux... Tu comprends que tu ne peux pas continuer ainsi ? Ceci dit, j'ai réussi à te trouver un assisstant, donc je suppose que ça veut dire que tu me dois un déjeuner quelque part, un jour, dans un chic restaurant... Il s'appelle Sam Vantricht, et comme ça, au moins, je sais que tu ne seras pas tenté de le mettre dans ton lit... À moins que tu ne te sois découvert un récent penchant pour les hommes, et dans ce cas là, j'aurai perdu tout espoir te concernant.

- Ah oui, d'accord, je vois le genre : non seulement je ne serais pas tenté de coucher avec, je vais en plus devoir me rivaliser à lui ! Tu imagines la honte, face à mes belles clientes ? Certes, je suis irrésistible, mais quelle chance ais-je face à un .. autrichien ? De deux mètres de haut ?


Vance se contenta de hôcher des épaules avant d'ouvrir la bouche. Malheureusement, la conversation entre les deux amis fut brusquement interrompue par l'arrivée d'une belle brune dans la clinique. Légèrement maquillée par du ricil et un peu de "blush", la sublime créature avait les cheveux attachés en une majestueuse queue de cheval. Sa beauté n'était que flattée davantage par ses belles boucles d'oreilles fantaisistes de couleur vive et ses bracelets de cuivre habillant son poignet gauche. On pouvait discerner de parfaits petits orteils à travers les ouvertures de ses sandales qui s'accordaient à merveille avec son petit haut et sa jupe de couleur framboise à carreaux blancs et noirs. Steven ne put ressaisir ses esprits que plusieurs secondes après avoir aperçu cette divinité et se leva presque d'un bond avant de s'avancer vers la-dite beauté.

- Bonjour, je suis le docteur Pearce. Comment puis-je vous aider ? lui demanda-t-il en affichant son sourire le plus séduisant.
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Sam E. Vantricht

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Sam E. Vantricht


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MessageSujet: Re: S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. Icon_minitimeMer 19 Oct - 18:29

Cheveux tirés en une queue de cheval presque sévère, à peine adoucie par le double feu du regard marron aux cils accentués, sous la virgule malicieuse des sourcils, Sam avançait dans les rues bondées de la ville, profitant de la température relativement clémente, mais trop préoccupée pour réellement accorder au ciel dégagé les regards admiratifs qu'il méritait. A chaque pas des mèches brunes venaient lui caresser les épaules et le coton de sa jupe frôlait ses jambes bronzées... Un reste de son teint doré d'africaine, qui, face à la grande ville, pâlissait rapidement. Elle avait hésité, avant de revêtir cette jupe fantaisiste, incertaine de l'image qu'elle désirait projeter...

Entretien d'embauche.
Un entretien d'embauche.
Encore un entretien d'embauche.
Le troisième.
Un troisième échec?
Un troisième refus?
Mes économies ne le supporteront pas.
New-York coute cher, et mes gouts vestimentaires aussi.
L'hôtel, lui?
Mieux ne vaut pas en parler...

Mon souffle se précipite un peu à cette pensée. Et si? Et si... Adresse à la main, j'approche de ma destination... Un moment, devant la porte, je me fige, les yeux clos... Qui aurait cru que, un diplôme d'infirmière en poche, il aurait été si compliqué de trouver un emploi en Amérique?

-Aie!

Le sol a la dureté de cette ville et de ses passants. De cet homme, là, qui ne s'est même pas retourné et à qui je voudrais lancer mon sac à main en hurlant. Pas de chaleur, pas de vie, pas de joie. On est bien loin des principes de galanteries ou des rêves de princes et de courtoisie. Pas que j'en demande tant, non. Pas que je rêve tant. Je n'ai pas de tour ou de sommeil dont être délivrée, pas de prison pour m'encager, pas de belle-mère jalouse, je n'ai pas... pas même de mère. Et pas même de passé. Je n'en veux pas.

Pas le temps pour l'apitoiement! Elle se redresse, passe en de grands gestes secs ses mains sur ses vêtements, en espérant ne pas s'être salie, et maudit, à mi-voix, le rustre l'ayant bousculée. Puis sa main se pose sur la poignée et, après avoir sonné, elle entre. Quelque spas, une autre porte à pousser... Du blanc, de la lumière, du ois clair et de l'acier brossé, partout, avec, ci et là, un cadre. Puis, face à elle, deux hommes, à qui elle délivre son plus beau sourire colgate.

Il faut que je les convainque, que je les charme, que je les oblige, quitte à les menacer,quitte à supplier, quitte à ... quitte à tout. Ils doivent m'embaucher. Ou, dans deux jours, je serai sur la paille. Et New-york contient autant de paille que mes premières chaussettes. J'échouerai sur le macadam: pire, donc.

Alors je ferai... je ferai tout...
Tout ce qu'il faudra.
Même sourire là, à monsieur-qui-me-déshabille-du-regard.
A monsieur qui me prend pour un chocolat...
Qui voudrait me faire gouter à sa praline.
Même sourire à cet obsédé-là.
Avec chaleur, s'il vous plait.
Avec joie.

Il avance et mon sourire s'élargit, je laisse mon regard le parcourir, appréciative. En apparence. Pas qu'ils oit moche, non, pas qu'il soit gauche. Sur de lui, sexy... mais narcissique, à un point tel qu'il empuantit l'air alentours.

Nos mains se serre et je ramène mon regard vers son visage, y ancre mon regard, sourit... un peu moins franchement, un peu plus doucement. Comme embarrassée.

« Oh?... Je.. excusez-moi. »

Elle déglutit. Elle sent le rouge lui monter aux joues.

« Dé... Désolée. Je veux dire... Je m'attendais à un vieux barbon et... »

Silence. Quelques secondes.
Cramoisies, les joues.
Mordue, la lèvre.

« Vous êtes... si jeune! »

Elle laisse retomber sa main, se morigène, s'amuse, joue.

« Je... Sam Vantricht. J'ai répondu à votre proposition d'emploi... »
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Steven J. Pearce

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MessageSujet: Re: S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. S T E V E N & S A M ϟ Never Mind, I'll Find Someone Like You. Icon_minitimeVen 11 Nov - 15:40

Créature. C'était probablement le seul mot qui convenait à la décrire : c'était une sublime créature, de la nature le plus divine qui soit. Le sourire qu'elle leur avait donné était magique ; ensorcelant, euphorique, même ! Elle s'approcha d'eux. Il avança, lui aussi. Il l'observait, elle ; elle et les belles courbes de son corps, elle et le reflet de la lumière sur ses cheveux bien beaux et suffisament longs pour laisser apparaître, ne serait-ce que l'espace d'un instant, une étincelle de la grace qu'elle conservait en elle ... Il était incertain ; elle le faisait douter de lui, et il avait horreur de cela. Des années consacrées à se batir cette confiance en lui inflexible quelles qu'en soient les circonstances, et voilà qu'en un instant, le doute planait chez lui : pourquoi était-elle ici ? Et cette peau ... Cette peau à la fois claire, et pourtant sombre ... Était-elle le fruit d'un métissage exotique, aussi épicé et excitant qu'inconnu, ou était-elle de pure race, telle la jument de course, fière et indompable ? Que de questions, que de frustrations, pour le Docteur Pearce, celui qui d'habitude, avait toujours réponse à tout ...

Généralement, les femmes entrant dans ce cabinet venaient toutes pour la même chose : de la chirurgie esthétique. Certes, elles n'étaient pas toutes insatisfaites de la même parties de leurs corps. Certaines n'aimaient pas la tasse qui leur servait de nez. D'autres n'aimaient pas l'abomination que des gens osaient appeller une bouche. D'autres encores venaient dans une dernière tentative désespérée de se débarasser de cette cuirasse qu'elles appelaient "peau", acquise suite à de nombreuses heures passées au soleil. Il ne pouvait pas faire de la magie ; il pouvait juste essayer de défier la nature, et parfois, ça ne marchait pas comme prévu. Néanmoins, celle-ci était différente ... Elle n'était pas là pour se faire refaire quelque chose, c'était évident : il suffisait de regarder ce visage, aussi parfait que celui d'un ange ou aussi exquis que celui d'une tentatrice envoyée par le diable afin de le faire commettre l'un des pêchés capitaux ...

Quand à cette poitrine, il devait s'avouer avec regret que lui même n'aurait pas pu faire mieux. Elle avait ce corps svelte et bien proportionné, avec toutes les bonnes courbes là où il le fallait et des jambes assez longues pour rendre vertes de jalousies la plus belles des mannequins. La femme idéale en somme, du moins, l'une d'entre elles. Il voyait bien que badiner comme aves toutes les autres prunes friquées qui traversaient le seuil de son cabinet ne marcherait pas ... Mais qu'est-ce qui marcherait ? Il était nerveux. Le moindre faux pas suffirait pour la faire fuir, et il le savait. Elle lui souriait. Ils se serrèrent la main.

L'un de ses sourcils se haussa légèrement lorsque celle-ci s'excusa : mais de quoi s'excusait-elle donc ? D'être tout simplement sublime ? D'être magnifique ? D'être une reine ? De dominer sur tout, absolument tout, que ce soit le ciel azur, la terre chocolat ou l'eau turquoise ? C'était de ça, qu'elle s'excusait ? Les femmes étaient décidemment bien trop complexes pour son cerveau masculin. Ce qu'il craignait le plus, c'était qu'elle voit à travers lui ; qu'elle puisse jeter de côté tout le bien en ne voir que le mal, comme avec un filtre.

Il était "si jeune". Autant le dire tout de suite : elle visait dans l'originalité ! Il adorait ça. Il ne sut pas immédiatement quoi répondre, cependant, les mots lui vinrent directement en entendant les mots sortir de la bouche de celle-ci. Seuls deux lui suffirent : Sam. Vantricht. Jetant un regard triomphâl à Vance, Steven revétit à nouveau son plus beau sourire avant de répondre à sa potentielle nouvelle assisstante :

- C'est donc vous, Sam ! Autant dire qu'on aura tous les deux étés surpris de notre éventuel nouveau (ou nouvelle) collègue ! Asseyez-vous, et on discutera du métier. Vance, tu peux partir.

Sans attendre une seconde de plus, il s'assit dans sa confortable chaise de cuir, Vance sortant du cabinet (ils se reverraient plus tard dans la journée, de toutes manières), le laissant seul avec Sam ...
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